- apprendre à se détendre tout au long de la maternité
- prendre soin de soi tout en se relaxant
- garder ou améliorer sa souplesse par des exercices à pratiquer en douceur
- découvrir et écouter son corps qui change, le délier
- garder le contact avec ses sensations, son corps, son bébé
- favoriser le lien avec son tout petit, en apprenant à mieux ressentir ses vibrations
- atténuer ne nombreux maux liés à la grossesse comme le mal de dos et la circulation sanguine
- améliore la qualité du sommeil
- apprendre à mieux respirer
- explorer son bassin, son périnée et apprendre à en jouer pour aider au passage du bébé lors de l’accouchement.
- avoir des repères pour tonifier le périnée après l’accouchement
- renforcer sa confiance en sa capacité à mettre au monde
En plus de vous préparer physiquement, grâce à des exercices choisis et adaptés (exemple : assouplissement du bassin), le yoga prénatal aide également la maman à vaincre son appréhension de l'accouchement.
De plus, les exercices de respiration ont pour but de vous préparer durant le travail.
D'ailleurs, les femmes se servent de ces techniques de respiration le jour J pour diminuer les douleurs liées aux contractions avant la naissance de bébé.
Le yoga est une activité physique qui intéresse souvent les femmes enceintes car elle est bien adaptée à leur situation. Attention cependant à ne pas choisir ses cours à la légère ! Il faut avant tout trouver un cours de Yoga adapté pour vous.
Certains types de posture de yoga enseignés en temps normal ne sont plus adaptés pour une femme enceinte, car votre corps change.
Adressez-vous auprès d’un professeur de yoga connaissant la pratique du yoga avec les femmes enceintes.
Demandez également l'avis de votre médecin ou obstétricien avant tout début de séance.
La grossesse n’est pas du tout le bon moment pour commencer des postures inversées : évitez donc les poiriers, équilibres et autres chandelles.
Les « mouvements » (asanas) qui exigent une position allongée sur le ventre doivent être totalement proscrits.
Évitez les positions qui étirent trop les muscles abdominaux, comme les étirements vers l’avant ou l’arrière, ou de côté.
Évitez tout asana qui implique des sauts, des bonds en arrière, des roulades, ou toutes autres formes de yoga trop vigoureuse, sportive ou intense.
Écoutez toujours votre corps et arrêtez-vous si une posture vous fait mal, ou si vous sentez que vous n’êtes pas à l’aise avec cette position.
- en cas de grossesse difficile, voire à risque
- s'il y a des cas de fausse-couche dans ses antécédents familiaux
- si vous constatez la présence de saignements anormaux
- si vous avez de l'hypertension
- si vous présentez des problèmes circulatoires importants (varice, thrombose veineuse, etc.) ou des troubles cardiaques
- si le fœtus est fragile
La plupart du temps, le yoga peut être pratiqué par tous, sauf en cas de contre-indications et dans certaines situations où il faut choisir un yoga adapté. Demandez conseil à votre médecin/gynéco/sage-femme.